CM Dunkerque du 02 11 1639 chez Alonso Arias |
CM du 30 05 1660 à Dunkerque |
Cf KITCHEN, op.cit., BIERBRIER, op.cit., p.79, 88, 98-9. |
Voir les références chez KITCHEN, op.cit., p.47-49. |
On sait que la reine Karoma Ière, épouse d'Osorkon Il, était fille royale (KITCHEN, op.cit., p.322), ce qui signifie que son père était un pharaon, en l'occurrence, soit Takelot Ier (889-874), soit Harsiese (c.870-860). Comme l'autre grande princesse de ce règne appelée Karoma Merymout Ière, également Fille Royale était certainement fille d'Harsiese (KITCHEN, op. cit., p.323), on peut légitimement penser qu'il en allait de même pour Karoma Ière. |
Etude récente exhaustive chez K.A.KITCHEN, The Third Intermediate Period in Egypt, Warminster 1973, p.138-147, 468. |
Hdt Il, 157-61. Cf. par ex., E. DRIOTON-J. VANDIER, L'Egypte. Des origines à la conquête d Alexandre Paris 1938 (5e ed., revue et corrigée, 1975) p. 591-71 F. K. KIENITZ, Die politische Geschichte Ägyptens vom 7. bis zum 4. Jahrundert vor der Zeitwende, Berlin 1953, sp. p. 48-54, 154-65. |
Nous connaissons 5 fils de Sheshonq III, de 3 femmes différentes (KITCHEN, op.cit;, § 305 p.343-5) - Pemou, prince de Sais, pharaon 773-767. - Takelot, prince de Bousiris, né de Djed East es ankh. - Eakennafi, prince d'Athribis et d'Héliopolis, né de Tadibast. - Pashedbast, généralissime en Thébaitle. - Padehenbast, grand prêtre d'Amon à Tams. - Ankhes en Sheshonq (fille), née de Tanamoupit, épouse de Toupout prêtre de Ptah. Ici, la chronologie ne nous est d'aucun secours. Le seul élément dont nous disposons est l'onomastique. Le fait que les noms de Pemou et de Sheshonq ne se retrouvent dans la postérité de Sheshonq III que chez les seuls descendants de Pemou (Sheshonq, son fils aîné, grand prêtre est vraisemblablement le même que Sheshonq V son successeur, cf. KITCHEN, op.cit., p.345, 349 & n.593) et de Takelot (ses successeurs à Bousiris portent alternativement les noms de Sheshonq et de Pemou (YOYOTTE, principautés...p.165-173, KITCHEN, tab.22 C p.491 avec référ.) permet de croire que Pemou et Takelot avaient la même mère. |
Quoique la généalogie des rois de la XXI° dynastie ne nous soit pas parvenue, au moins dans son intégralité, la quintessence des nombreux documents la concernant qui sont en notre possession rend possible l'établissement d'un stemma assez complexe et, partant, relativement complet. Les deux seuls points faisant vraiment difficulté sont d'une part la durée du règne du pharaon Amenemope (voir la discussion exhaustive chez K. A. KITCHEN, op.cit., p.25-39, et également M. L. BIERBRIER, op.cit., p.49-509), et d'autre part l'identité de Psousennes II (Psibkhanno). Ce dernier est en effet soit à distinguer d'un grand prêtre Psousemes, fils du pharaon Pinudjem (ainsi, plutôt, KITCHEN, op.cit., p.12), soit identique à lui (E.WENTE, Jour. Néor. East. St., t.26 (1967) p. 168-170; BIERBRIER, op. cit., p.47 & n.16 p.131.). En réalité, comme le souligne M. BIERBRIER, l'identité est quasi-certaine. |
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